La santé publique me passionne. J’ai suivi ma formation en médecine de santé publique à l’Université de Californie, à Los Angeles, et j’ai consacré ma vie aux problèmes de santé publique, principalement la prévention des blessures et de la violence, la santé mentale et la prévention des maladies chroniques.
J’aime être entre copains et la santé masculine me tient à cœur. Je travaille avec ardeur; je vis avec ardeur; je joue avec ardeur; j’aime avec ardeur; et j’essaie d’être un bon père, un bon frère, un bon oncle et un bon mentor auprès des hommes qui font partie de ma vie. La santé masculine m’importe parce que j’aime ma femme et je veux vivre pour continuer de l’aimer longtemps encore. Parce que je veux être un père pendant longtemps. Parce que je sais ce que c’est de perdre prématurément un être cher d’une maladie qui peut être évitée et traitée.
J’ai d’abord participé à Movember pour parler avec d’autres hommes des principaux problèmes qui nuisent à la santé masculine et m’amuser. Des collègues de travail de ma femme ont créé une équipe Movember et j’en ai fait partie pour en savoir plus sur la façon de faire de Movember. Nous avons eu du plaisir et un grand nombre de personnes ont fait partie de notre réseau pour parler de sujets de santé importants. Aussi, sur une note plus sérieuse, j’ai deux frères qui ont survécu au cancer de la prostate. Je dédie mes efforts à l’occasion de Movember à mes grands frères que j’aime de tout mon cœur.
Dans le cadre de mon travail, j’ai eu à résoudre des problèmes de santé masculine sous une forme ou une autre, tout au long de ma carrière en santé publique, dans les hôpitaux et les centres médicaux. Il est souvent difficile dans ces contextes de discuter de problèmes de santé masculine. Les conversations deviennent graves trop rapidement, je dirais, de sorte que les sujets ordinaires y sont peu abordés de manière « terre-à-terre ». Il s’est avéré que ma participation à Movember m’a beaucoup aidé à aborder le sujet de la santé masculine, en particulier le cancer de la prostate et la santé mentale, sans rebuter les hommes. Il est beaucoup plus facile de parler des raisons pour lesquelles j’ai coupé ma moustache que de demander à des amis et à des membres de ma famille s’ils ont pensé à subir un examen de la prostate dernièrement.
Inciter les hommes à prendre soin d’eux-mêmes et de leur santé m’inspire parce que je ne veux pas qu’ils meurent prématurément. Je veux qu’ils vivent, qu’ils aiment et qu’ils travaillent pour que leurs communautés soient des endroits où il fait bon vivre en sécurité, dans la santé et la joie. Je suis aussi motivé par les décès prématurés de mon grand-père et de mon oncle Franck, deux hommes qui sont partis beaucoup trop tôt et qui nous manquent encore cruellement.
Randal Henry, Mo Bro depuis 2015
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21 novembre, 2016
La santé publique me passionne. J’ai suivi ma formation en médecine de santé publique à l’Université de Californie, à Los Angeles, et j’ai consacré ma vie aux problèmes de santé publique, principalement la prévention des blessures et de la violence, la santé mentale et la prévention des maladies chroniques.
Randal Henry: Je travaille dur, je vie dur, je joue dur, j'aime dur
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